Mélusine, la nouvelle micro-crèche naborienne est ouverte

Mélusine, la nouvelle micro-crèche naborienne est ouverte

Ouvert depuis le 1er  septembre dernier, l’établissement peut accueillir jusqu’à onze enfants âgés de dix semaines à quatre ans. L’objectif du lieu : encourager le développement et l’autonomie même des plus petits à travers des activités adaptées.

 L’établissement accueille jusqu’à onze enfants, âgés de dix semaines à quatre ans.  Photo RL/ Sarah CIAMPA

Rue de la Piscine, la pâtisserie chocolaterie de Thierry Hommel a de nouveaux voisins, en format miniature. Une micro-crèche baptisée Mélusine, gérée par l’association Alys , a ouvert ses portes le 1er s eptembre dernier avec à son bord huit enfants. Il s’agit de la première micro-crèche de l’association en Moselle.

Le lieu ne peut recevoir que onze enfants, âgés entre dix semaines et quatre ans. Ils sont encadrés par une équipe de quatre professionnelles. L’objectif de ces petites structures est notamment de favoriser les échanges et l’autonomie des plus petits.

Développer la psychomotricité

Covid-19 oblige, lorsque vous entrez dans les lieux colorés et étoilés de Mélusine, le masque et un coup de gel hydroalcoolique s’ajoutent au port de surchaussures. La structure est composée d’une grande salle de jeux, de deux dortoirs, dont cinq lits à barreaux pour les bébés, d’une salle à langer avec toilettes pour les petits, d’une cuisine pour les enfants et d’un jardin pour les jours ensoleillés.

Tout est fait pour que « l’enfant développe sa propre autonomie et sa psychomotricité », explique Camille Fritz, éducatrice de jeunes enfants et la référente technique de la micro-crèche, même jusque dans la cuisine. « On les fait participer à des activités culinaires, des petits jeux accessibles à tous les âges », poursuit-elle.

Des places vacantes

De plus, l’équipe, composée de Stéphanie, Mélanie et Élodie, respecte les choix parentaux. « C’est pour cette raison que les parents apportent le repas pour veiller à suivre les régimes alimentaires ou sinon la maman allaite toujours et souhaite poursuivre même en son absence. »

« À la fin du mois, on accueillera le huitième enfant », annonce l’éducatrice. Il reste donc trois places vacantes. « Les contrats avec les parents sont vraiment adaptables selon leurs demandes, que ce soit pour la socialisation de l’enfant quelques journées par mois ou cinq jours sur sept en raison de leur emploi », précise-t-elle.

Article du Républicain Lorrain

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